4 mars 2007
la m.....................;;
je suis au fon de mon abîme
et j'essai de remonter
ou ma mélancolie et douce à pleurer
et au bord de ma nuit
alors je suis entrée si près
qu'elle m’a effleuré
elle m'a dit viens
rien ne te retient
elle a accompagné ma tristesse
elle est devenue mon amant ma maîtresse
car de vous je n'attendais
qu'un peu de tendresse
votre amitié, un geste,
mais si je vous est demandé beaucoup
alors excusé moi de ne pas tenir le coup
car mon manque de chance
résume mon histoire
je ne vous demande pas d'y croire
mais je voulais tellement donné
que le reste n'a pas d'importance
vous n'avez pas su me lire
mais je n'a pas su me dire
ou j'ai pas su prendre mon tour
et ce ne fut pas le bon jour
en tout cas excusé moi encore
elle avait tellement de puissance
comment lui résister
elle avait su se présenté
m'enveloppé de ses bras
mi dans le noir
nourit mon desespoir
alors fallait-il là croire
quand elle disait
qu'elle m'écoutait et pouvait me voir
vous vous n'êtes pas tout à fait réel
et je le suis devenu de moins en moins
c'est peut être cela le problème
je ne faisais que rêvé
qui aurait pu m'aimer
alors malgré moi
je fus embarquer
comme je fus fabriqué
c'est un peu près de vous
dans ce monde de fou
que j'aimerai resté
mais je suis tellement paniqué
qu'il faudrait m'aidé
car avancé d'un pas
c'est tellement compliqué
je ne suis qu'une main qui se tend
que très peu comprend
je ne suis qu'une main qui caresse
un manque de tendresse
je ne suis qu'une main qui écrit
avec des mots qui crient
mais peut être je ne suis rien du tout
et j'erre dans ce monde de fou
alors escusez moi pour tout
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